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23 août 2007 4 23 /08 /août /2007 14:42

 

 

 

Etre attaché à son chien au sens figuré implique d’y être attaché au sens propre pour sa sécurité et celle de la collectivité. Même les plus adeptes de liberté pour leurs animaux conviendront qu’il y a des circonstances où la divagation n’est pas acceptable.

 

 

 

Plusieurs produits s’offrent à vous pour vous permettre un minimum de contrôle, depuis une ribambelle de colliers jusqu’aux harnais, complétés de laisses, tressées, métalliques ou à enrouleur.

 

 

 

Le collier traditionnel s’est peu à peu transformé pour répondre aux demandes – plus ou moins superflues – des propriétaires.

Le porte étiquette pour indiquer votre nom et celui de votre chien, et un numéro de téléphone peut s’avérer précieux, comme la lampe qui clignote la nuit par exemple, afin de bien repérer votre chien.

 

Le design est une question de goût personnel, il s’agit seulement qu’il n’altère pas la fonctionnalité première du collier et de la laisse.

On notera qu’il est préférable d’adapter la résistance du collier à la morphologie et à la vigueur de votre an im al, que les pointes sensées calmer l’ardeur de votre molosse ne font que renforcer la musculature de son cou après lui avoir occasionné des douleurs inutiles, et que le collier étrangleur n’a de sens que si vous parvenez à réaliser une promenade avec la laisse détendue.

 

 

Le harnais est souvent mal employé, car sans doute mal conseillé à la vente. Cet accessoire permet aux chiens de traîneaux de tirer des charges avec le soutien du haut de son corps. Le faire porter à votre chien l’incite davantage à tirer qu’à rester calme à côté de vous.

 

 

S’inspirant du monde équin, le licol est un concept intéressant pour guider votre compagnon, à utiliser avec précautions pour éviter les chocs sur ses cervicales en cas de mauvaise maîtrise.

 

 

La qualité de la laisse est importante, mais dans une moindre mesure. En effet, en tant que lecteurs assidus de cette chronique, vous savez qu’une promenade avec son chien n’est appréciable par les deux parties que si elle se termine sans que l’un n’ait une crampe au bras et l’autre la respiration coupée.

 

 

Je ne préconise pas l’utilisation de n’ im porte quel outil. Je déconseille fortement la laisse à enrouleur : si votre chien s’est trop éloigné et que vous devez le ramener à vous rapidement, par exemple à l’approche d’une voiture, vous courrez de graves risques.

S’il s’enroule autour des jambes d’un promeneur ou si votre chien tire très fortement dessus, il risque de vous échapper, de blesser quelqu’un ou lui-même.

 

 

Rappelons qu’aucun accessoire ne remplacera jamais l’éducation, et qu’il est toujours plus intéressant d’apprendre au chien à faire bien que de sévir parce qu’il fait mal…

 

 

 

Laurence Bruder Sergent

 

www.comportement-canin.com

 

 

 

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20 août 2007 1 20 /08 /août /2007 17:11

Le 5 septembre de 18h à 20h, je donne une conférence à l'université populaire d'Ostwald (Bas Rhin), sur le thème :

Le chien, meilleur ami de l'homme.
Et l'homme, meilleur ami du chien ?

à vos agendas !

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17 août 2007 5 17 /08 /août /2007 15:50

 

avec l'aimable autorisation de Cesar Ades, éthologiste brésilien

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17 août 2007 5 17 /08 /août /2007 15:26
Si vous avez lu mon livre, et notamment la quatrième de couverture, ce petit texte vous rappelera certainement quelque chose. Un ami a détourné mon texte et en a fait.....ceci :

La cause des femmes

Vous vous interrogez parfois sur ce qui se passe dans la tête de votre femme ?
Vous aimeriez bien savoir ce qu’elle pense de vous ?
Pourquoi elle se bat avec ses congénères ?
Pourquoi elle fait des bêtises durant votre absence ?
Pourquoi elle fugue dès que vous avez le dos tourné ?
Pourquoi elle a mordu une personne, et ce qu’elle risque de recommencer ?
Peut-être envisagez-vous d’adopter une femme et vous voulez éviter de commettre des erreurs qui pourraient avoir de sérieuses conséquences plus tard ?
Où l’acheter, comment la choisir, que faut-t-il savoir pour ne pas se tromper ?
Comment lui apprendre à être propre ?
Comment procéder pour lui apprendre les bases de la vie en cohabitation avec les siens ?
Comment lui faire comprendre que vous êtes le décideur et que ce n’est pas elle qui dicte sa loi ?

La relation entre l’homme et la femme se construit et s’entretient tous les jours.
Respect mutuel et compréhension des différences fondamentales entre les deux espèces sont les ingrédients essentiels d’une bonne entente.

Laurent Bruder Sergent exerce les métiers de comportementaliste et d’éducateur de femmes de bonne compagnie. Il met ses connaissances au service des propriétaires de femmes, ou de simples curieux qui souhaitent mieux connaître l’espèce féminine.

Little MATCHO

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17 août 2007 5 17 /08 /août /2007 15:12

Bonjour,

 

J’ai découvert il y a peu le métier de comportementaliste et cela m’a tout de suite plu. J’ai alors fait de nombreuses recherches pour connaître les formations. J’ai alors trouvé différents liens dont quelques uns sont présentés sur votre site. Mais il y a quelque chose que je n’arrive pas a savoir précisément : quelles études ou formation pourrais-je faire avant ?

Je sors d’une filière très générale et, malgré les nombreux animaux domestiques que j’ai ou que j’ai eu, je n’ai pas vraiment d’expérience dans ce secteur. Alors j’aimerai savoir : y a-t-il des études qui soient recommandées (éthologie par exemple) ? Qu’elles sont les compétences ou les expériences que je dois vraiment avoir eu pour apprendre et exercer le métier de comportementaliste ? Aussi, savez-vous si ce métier à de l’essor dans d’autre pays que la France (comme le Canada par exemple…)

réponse de Vincent Pfeiffer, comportementaliste à Besançon, qui m'a autorisé à publier son message :

 

Il y a finalement plusieurs préparations possibles à la formation et au métier de comportementaliste.

 

Etant donné qu'il faut se servir "d'outils" et de connaissance en psychologie, éthologie, communication, ou encore biologie, vous avez l'embarras du choix entre toutes ces filières.
 

Et d'ailleurs vous faites bien d'assurer vos arrières en passant d'abord par un diplôme universitaire. De plus, il me semble qu'il faut une certaine maturité, directement liée à l'âge et aux expérience "post-bac" avec de vouloir se lancer.

 
Concernant l'éthologie, sachez que le statut d'éthologue s'obtient grâce à un doctorat, et donc la soutenance d'une thèse. On parle ici d'études très longues.
 
Enfin, pour la reconnaissance et l'essor de la profession au Canada... On est tenté de dire que ça a l'air plus facile et plus ouvert qu'en France, mais peut être est-ce parce que l'herbe semble toujours plus verte chez le voisin!
 
Quoi qu'il en soit, si vous désirez vous lancer dans cette voie, multipliez les expériences et surtout sans jamais vous satisfaire d'une approche, d'une lecture, d'une doctrine, d'un stage. D'autant que dans un premier temps, ne sachant pas encore bien "faire le tri", vous tomberez inévitablement sur des "méthodes miracles", de la littérature qui vous annonce avoir la solution pour ceci ou cela... des personnes: éleveurs, dresseurs, comportementalistes, "éducateurs", etc qui vous diront savoir exactement quoi faire et quoi penser en toute situation. Surtout gardez vos distances et votre indépendance.

 

Ces recettes, surtout ne vous y attardez pas et gardez bien l'esprit critique. Il sera certes tentant pour vous de vous engouffrer dans un courant de pensée et essayer de tout voir à travers ce filtre séduisant (cf. la méthode Parelli pour l'équitation qui est on ne peut plus endoctrinant), vous n'avez pas l'âge pour vous arrêter à une seule approche.
Privilégiez toujours les gens et les lectures qui vous amènent plus de questions que de réponses (vous avez tout le temps pour ça). Le plus grand piège, là où vous en êtes, serait de réduire votre champ d'exploration.
 
Tout est bon à (ap)prendre, ne faites aucun tri pour l'instant.
 
On sait peu de choses sur la cohabitation et les liens homme-animal, chaque science se propose de tout expliquer, il ne faut surtout pas y croire (juste s'y intéresser). Et vous constaterez que ces études, cette culture vous amène à beaucoup beaucoup d'humilité finalement...
 
Bonne chance.
 
Vincent PFEIFFER pour l'Association C.A.D
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13 août 2007 1 13 /08 /août /2007 13:49

Photo qui devrait paraitre dans le prochain numéro du magazine "Télé Star", avec une petite interview...

Sortie le 27 aoùt 2007

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12 août 2007 7 12 /08 /août /2007 22:40

qui accompagne mon article pour les DNA :

 

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8 août 2007 3 08 /08 /août /2007 21:17

Les animaux terrorisés par les orages ne sont pas rares. Une tempête approche et votre chien semble perdre tout contrôle ? il cherche à se cacher ou à quitter la maison, il essaie de s’enfuir ou va se mettre sous votre lit, il tourne en rond, s’agite de manière frénétique, gémit, tremble, salive, se gratte, transpire, se lèche, claque des dents…. ? Il ressent assurément une peur panique.

 

Que peut-on faire ?

 

Pour aider votre chien, vous pouvez diffuser un disque reproduisant les sons comme les coups de feux, la foudre ou le tonnerre, et le passer au volume minimum, tout en jouant avec lui. Encouragez-le, félicitez-le s’il reste calme et se focalise sur vous plutôt que sur sa peur.

Redoublez d’efforts et de patience s’il n’arrive pas immédiatement à « lâcher » son anxiété, il a besoin de temps et de répétitions.

Chaque jour vous pouvez augmenter légèrement le son en y associant un moment agréable pour élever son seuil de tolérance progressivement.

 

Une thérapie en plusieurs temps

 

Si vous avez réussi à réduire les manifestations d’angoisse de votre chien à l’approche d’un orage grâce à cette technique (dite de « désensibilisation »), vous pouvez passer à l’étape suivante : le conditionnement.

A chaque fois qu’un orage s’annonce, prenez le temps de jouer avec votre chien, de le distraire, lui faire penser à autre chose qu’à sa terreur. Il associera petit à petit que lorsqu’une tempête s’annonce, il passe un bon moment en votre compagnie.

Enfin, dernier point à ajouter : la distraction. Proposez-lui quelque chose qui occupera son esprit, le stimulera mentalement en lui faisant se concentrer sur un dérivatif. Si votre chien est gourmand, proposez-lui un jouet en plastique farci de friandises qu’il devra chercher. S’il adore répondre à des exercices d’obéissance, vous pouvez enchaîner les séances amusantes d’ordres très simples, qu’il réussit parfaitement et qui vous donnent l’occasion de le féliciter un maximum. S’il est joueur, tentez le lancer de bâton ou de balles…

 

Remède miracle ?

 

Cette méthode est relativement efficace mais pas totalement, dans la mesure où elle reproduit le bruit, mais pas l’odeur d’ozone ni la pression atmosphérique qui accompagnent l’orage. Il n’existe pas vraiment d’autre technique, alors autant faire une tentative avec celle-ci pour aider votre ami.

 

Laurence Bruder Sergent

www.comportement-canin.com

 

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30 juillet 2007 1 30 /07 /juillet /2007 12:59

… sont sur le site !

 

 

Rendez-vous sur www.educationcanine.net !

 

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27 juillet 2007 5 27 /07 /juillet /2007 14:25

Demain matin auront lieu les premières Olympiades Canines à Molsheim : au programme, bonne humeur, jeux, cadeaux et gâteaux pour tous les participants !

Les photos seront visibles sur le site Internet dès que possible : www.educationcanine.net

Vous n'avez pas pû vous inscrire pour la session du 28 juillet ? il reste des places pour le 25 aoùt ! Voyez les informations sur le site www.educationcanine.net.

à bientôt !

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